Testimonies

Nanna Swarz was convinced that Raoul Wallenberg was still alive in 1970 and was very bitter over how the Swedish Government handled the Raoul Wallenberg case. She had met several witnesses who had seen Raoul Wallenberg. She says Raoul Walenberg was in a mental hospital in Moscow in 1961 and in later years in other places in URSS.

Informations about Károly Szabó an employee on the Swedish Embassy in Budapest from 1944 to 1945 (by his son Tamas Szabo).

ÁVH actions were not subject to judicial review. On 1953-04-07, early in the morning, Miksa Domonkos, one of the leaders of the Jewish community in Budapest was kidnapped by ÁVH officials to extract “confessions”.[1] Preparations for a show trial started in Budapest in 1953 to prove that Raoul Wallenberg had not been dragged off in 1945 to the Soviet Union but was the victim of cosmopolitan Zionists.

“Je suis né à Budapest en 1924. J’ai donc 20 ans lors des événements… J’ai terminé mes études secondaires et m’apprête à entreprendre mes études en médecine. Mais, étant juif, je ne peux aller à l’université. Les Allemands occupent le pays à partir de mars 1944. Budapest compte une très grande communauté juive. Nous sommes tous déplacés vers des maisons portant la grande étoile jaune. Et je suis mobilisé pour les camps de travail. Nous devons porter l’étoile jaune, respecter le couvre-feu, ne pas circuler dans certains parcs et magasins, etc. Moi je travaille au quartier général de Eichmann ! ! !

I and many members of my family owe our lives to your uncle. My parents, grandmother, aunt and cousin were amongst those collected from Ulloi utca on the night of 7 January 1945 and brought back from a house near the Danube through the help of his office. My uncle, Laszló Kelemen (he is mentioned in a letter, dated 8 December 1944, from Raoul Wallenberg to Kalman Lauer) was working in the office and was not among those taken.

My brother Gustav was one of the messengers of Raoul Wallenberg Resque operation. His name is listed on the first page of the employes of the team of Raoul Wallenberg. In 1944 my brother was 15 years of age.

“Je suis né à Budapest en 1924. J’ai donc 20 ans lors des événements… J’ai terminé mes études secondaires et m’apprête à entreprendre mes études en médecine. Mais, étant juif, je ne peux aller à l’université. Les Allemands occupent le pays à partir de mars 1944. Budapest compte une très grande communauté juive. Nous sommes tous déplacés vers des maisons portant la grande étoile jaune. Et je suis mobilisé pour les camps de travail. Nous devons porter l’étoile jaune, respecter le couvre-feu, ne pas circuler dans certains parcs et magasins, etc. Moi je travaille au quartier général de Eichmann ! ! !

(Article paru dans le journal du “Cummings Jewish Center for Seniors” de Montréal en mars 2004; c’est Susan elle-même qui a écrit l’article)

Susan is a survivor who has personal recollections of Raoul Wallenberg. She remembers the moment when the young Swede saved her and her family, along with others, from an imminent death march by being shot into the depth of the Danube. She remembers him as Wagner Lohengrin, saving Eisa.

“ Je suis née à Budapest en 1922 de parents Juifs non pratiquant. J’ai même été converti au catholicisme au début des années ‘40 pour échapper éventuellement à la montée du nazisme et de l’antisémitisme.

Jeune, je suis curieuse et désire voyager. Je rêve de vivre un jour aux États-Unis; comme l’Institut Curie de Paris donne une formation en chimie qui garantit un emploi aux USA, je convaincs mes parents d’aller y étudier. C’est pourquoi en 1938 et 1939, je me retrouve en pension à Paris pour y poursuivre des cours à la Sorbonne. Je suivrai finalement des cours d’économie.

“I was born in Budapest in 1929. The German occupation occurs in 1944. At that time, I’m 15 years old and living with my parents. I was their only daughter. We had to wear yellow star and move from apartment. We then lived in the so called SAFE HOUSES; the Sweedish government was looking over Jewish people. We had to leave everything behind and move to another place.